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Monique Olivier avoue que c’est impardonnable lors de son premier interrogatoire


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Monique Olivier avoue son rôle de complice passive et obéissante dans le cadre de l’affaire Michel Fourniret. Elle admet avoir agi comme un appât aux côtés de Fourniret, et avoir été incapable d’agir pour empêcher les enlèvements, viols et meurtres de jeunes femmes.

Les avocats des parties civiles l’interrogent sur son incapacité à agir ou à localiser certaines victimes, et remettent en question ses souvenirs et ses explications.

Malgré les accusations, Monique Olivier reste silencieuse face aux clichés et aux questions du président Didier Safar et de l’avocat Me Didier Seban. Elle évoque également sa rétractation en 2006 concernant les disparitions de Joanna Parrish et Marie-Angèle Domèce, qu’elle qualifie de « stupide » et « ridicule ».

La famille Parrish quitte la salle lors de l’évocation du meurtre de leur fille, tandis que Monique Olivier se décrit comme une complice passive et obéissante. Elle explique qu’elle a obéi aux ordres de Fourniret, sans jamais remettre en question ses actes, et sans chercher à se souvenir de tous les détails.

Les réponses de Monique Olivier restent évasives et suscitent le scepticisme de Me Seban, mettant en lumière son incapacité à apporter de nouveaux éclairages sur les affaires en question.

Malgré la pression des avocats, Monique Olivier maintient sa position, décrivant son rôle aux côtés de Fourniret comme celui d’un simple « chien » obéissant et incapable d’intervenir. Son attitude face aux événements tragiques semble focalisée sur sa propre peur et panique, plutôt que sur la souffrance des victimes.

Source

Clicanoo

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