La gérante se souvient, amère, qu’elle n’avait pas été remboursée par les assurances après le premier cambriolage. Elle craint donc que cela se reproduise à nouveau. « Ils ont attaqué la porte au pied-de-biche. Rien que pour la porte, j’en ai pour 2000 euros », indique-t-elle avant d’avoir fait l’inventaire de ce qui a disparu.
Elle regrette également le temps que les démarches administratives vont lui prendre. « Arrêtez d’emmerder les petits commerçants », lâche Sandrine portée autant par la colère que le dépit.
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