« Escuz’ a nou. Cé pa nout fot la mobilisation, cé la fot Tereos ! Si li té donn’ a nou nout zaffèr, nou té vien pa su la route Saint-Denis« , explique un planteur qui a garé son tracteur sur le Boulevard de la Providence.
Les éleveurs demandent à ce qu’un prix plancher soit désigné et qu’il leur apporte les « garanties économiques » nécessaires pour faire face à la crise mondiale qui a fait flamber les prix des matières premières.
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