La police enquête sur les alertes à la bombe envoyées à soixante directeurs d’écoles publiques et privées. Les menaces informatiques sont plus difficiles à retrouver que l’homme ayant téléphoné au commissariat pour une fausse alerte le lundi dernier. Un habitant de Gros-Billot a été interpellé pour avoir lancé une fausse alerte à la bombe en téléphonant au 999 (numéro d’appel d’urgence) et risque une lourde amende et une peine d’emprisonnement. Cependant, cet individu n’est pas lié aux courriels envoyés aux directeurs d’école.
Les policiers mauriciens sont mobilisés pour sécuriser les établissements scolaires et éviter une récidive après la panique engendrée par les fausses alertes à la bombe. Toutes les écoles ayant reçu un courriel, ainsi que celles qui ne faisaient pas partie de cette liste, ont été inspectées.
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