La diversité géographique des lieux et la similitude des méthodes démontrent que la torture est largement pratiquée par les autorités russes dans les régions ukrainiennes sous leur contrôle. La Commission d’enquête, dirigée par Erik Møse, a souligné ces pratiques lors de sa dernière communication au Conseil des droits de l’homme des Nations Unies à Genève.
Selon la Commission, la torture est systématique et récurrente, avec des actes de violence commis dans les centres de détention en Russie et dans les zones occupées d’Ukraine. Les violences sexuelles sont également signalées, principalement à l’encontre de victimes masculines.
Des témoignages attestent que des autorités de haut niveau en Russie ont ordonné ces actes de brutalité. Les victimes ont subi des traumatismes graves, causant des dommages physiques et psychologiques irréparables.
La Commission a également enquêté sur les attaques contre des infrastructures civiles en Ukraine, notamment les institutions médicales et les immeubles résidentiels. Les attaques à grande échelle contre les infrastructures énergétiques ont causé des pannes de courant affectant des millions de civils, en particulier les personnes âgées et handicapées.
Il est crucial de poursuivre les enquêtes, d’identifier les auteurs et de garantir la responsabilité, tout en offrant un soutien complet aux victimes. La Commission continue d’appeler à la coopération et à la coordination de tous pour assurer la justice et la protection des droits de l’homme en Ukraine.
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