Les autorités de Géorgie ignorent les avertissements des défenseurs des droits humains et adoptent une loi controversée qui menace la liberté d’expression et d’association. Le Haut-Commissaire des Nations Unies aux droits de l’homme, Volker Türk, souligne les risques que cette loi fait peser sur les organisations de la société civile et les médias qui reçoivent des financements étrangers.
Il appelle à l’abandon de cette loi et encourage un dialogue entre les autorités et les acteurs concernés. Cette décision suscite des inquiétudes au sein de la communauté internationale, qui craint un impact dissuasif sur la société civile et les défenseurs des droits de l’homme en Géorgie.
En parallèle, quatre expertes de l’ONU condamnent l’adoption rapide de cette loi, soulignant le manque de consultations inclusives et transparentes. Elles mettent en garde contre les conséquences néfastes de cette législation sur les droits humains en Géorgie et appellent à son retrait.
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